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Le jugement, c’est souvent le regard des autres. Ce regard nous influence, il nous empêche d’agir, d’être nous-mêmes. Nous avons peur du rejet. Se soucier de ce que pensent les autres, fait de nous leurs prisonniers, et du coup nous leur donnons du pouvoir.  

Le regard que nous portons sur nous est aussi un des jugements les plus durs.

Souvent si nous avons peur d’être jugé, c’est que nous-mêmes nous jugeons… Puisque le jugement est en réalité une interprétation de ce que nous pensons de l’autre. Ce que nous pensons être un jugement de la part des autres n’est en réalité qu’une interprétation que l’on veut bien lui donner. Après tout ce que pensent les gens est fondé sur leur perception et leurs valeurs. Ils imaginent des choses en interprétant eux aussi…

Quelles sont les conséquences réelles du jugement des autres ? Acceptons nos défauts ou nos manquements, ils font de nous des êtres humains, donc imparfaits et faillibles. Et du coup c’est rassurant pour tout le monde.

Si nous accordons trop de place au jugement des autres, notre propre jugement perd de la valeur.

Juger les autres évite de regarder ce qui ne va pas chez soi. Il faut d’abord balayer devant sa porte et s’occuper de soi !

Le jugement négatif est destructeur et fatigant. Il demande beaucoup d’énergie pour un résultat au final inexistant, sauf si le but est de détruire la personne, ce qui est rarement le cas, à moins de tomber sur des malades, ou de vrais méchants.

En revanche le jugement positif permet d’avancer, il est constructif. Il sert aussi à se protéger. Si nous jugeons que telle personne ne nous correspond pas, inutile de l’affubler de tous les mots et maux de la terre, autant en avoir conscience et passer son chemin.

D’où la différence de porter un jugement qui permet de voir les distinctions, les différences, et porter un jugement pour dégrader l’autre. Dans ce cas là il est souvent utilisé comme un moyen de défense en attaquant ! Ici le jugement est comme une condamnation.

Le jugement tétanise, il empêche d’avancer ou d’agir selon ses propres convictions et ses désirs. Reprenez le pouvoir, et libérez vous du joug du regard des autres !

DDD

Quand l'évolution n'a pas que du bon, et surtout elle fait perdre le bon sens à la plupart d'entre nous..

Réfléchissez à ce que vous avez déjà, pas toujours à ce que vous n'avez pas, c'est le pire des "tue bonheur".

CARPE DIEM ! comme le disait HORACE ce qui veut dire littérallement : sois le moins crédule possible pour le jour suivant ...  soit profite du moment présent !

Bref soyez heureux maintenant, là tout de suite.

Et à vos plumes pour écrire la suite...

Plusieurs types de mensonges :

1 – En le verbalisant pour blesser, nuire ou préserver

2 – Par omission

3 – En plaisanterie

4 – à soi-même

 

Le 1^er est là pour détruire et faire du mal. Il est sans pitié. Il peut être formulé intentionnellement, mais pas toujours. Imaginez une violente scène de ménage, où les paroles dépassent la pensée « tu es bonne à rien ». Peut-on considérer cela comme un mensonge ? En réalité, cela n’a rien à voir avec le fait de mentir. Ces paroles ont été dites sur le coup d’une grosse colère, et ne reflètent jamais la vérité. Un mensonge énoncé clairement pour blesser, est pensé, préparé et n’a qu’un but précis, la tromperie, la tricherie.

Celui pour préserver est utilisé pour atténuer une vérité trop difficile, ou encore par peur de la réaction de son récepteur.

Le 2^ème, celui par omission. Ne rien dire signifie aussi mentir dans certains cas. Mais là encore deux distinctions. Ne rien dire en pensant que cela ne se saura pas, comme le cas d’un conducteur qui abime la voiture et qui ne dit rien à son conjoint en espérant qu’il ne remarquera pas « tiens tu as mis un autocollant sur la voiture ? Oui je trouvais cela plus fun ».

Ou alors les secrets de famille par exemple. Ne jamais révéler que le papa n’est pas le père biologique.

Le 3^ème sous forme de plaisanteries. Dans ce cas de figure, chacun sait par connivence que le mensonge est présent dans le seul but de divertir et d’amuser. Il est fictif.

Le dernier, à soi-même. Il est là uniquement pour tenter de se convaincre, ou quand on refuse de voir la vérité en face. Nous sommes dans le déni.

Y a-t-il des points communs entre ces différentes catégories ? Pour certaines oui. Il peut être destructeur, pour d’autres ils entraînent de la culpabilité, ils cassent la confiance, ils sèment le doute tel un poison distillé.

Le mensonge finit la plupart du temps par être percé à jour, et la douleur est d’autant plus grande qu’il a mis du temps à être découvert.

Une vérité difficile à dire ou à entendre a au moins le mérite d’être claire. Savoir permet d’avancer en toute connaissance de cause.

Y a-t-il des cas où le mensonge serait préférable à la vérité ? Oui bien sur ! Quand celui-ci n’entraîne rien de désagréable ou de grave. Ne pas dire à sa collègue qu’elle a une sale tête le matin n’a rien d’un mensonge. Le lui dire ne ferait qu’accentuer un éventuel mal être passager, ce qu’elle sait probablement déjà. Il n’en est pas de même si elle arrive tous les matins la tête dans le sac. Là, il serait judicieux d’amener le sujet de discussion sur les raisons de son état. Sauf si on déteste ladite collègue !!

Et il ne faut pas oublier que certaines personnes refusent d’entendre la vérité. Alors il vaut mieux ne pas insister. Elle n’est pas prête.

Enfin, j’ai gardé ceux-ci pour la fin. Les mensonges racontés aux enfants, tels que le père noël, la souris, les cloches. Pour ma part je ne les mettrai pas dans la catégorie mensonges, mais dans les belles histoires que l’on sert aux enfants, afin de les laisser rêver. Du coup, je les renommerai messonges (songes étant ici les rêves). Qu’en pensez-vous ?

Les plus gros mensonges sont souvent ceux des politiques. Mais je refuse de m’attarder sur ceux-ci, tellement ils sont minables et absurdes.

Vaut-il mieux rêve ou cauchemar ? En réalité, même si les cauchemars sont effrayants et angoissants, faites-en un atout. En effet, les rêves ou cauchemars véhiculent souvent un message. Ils sont l'expression de notre inconscient, et amplifient parfois aussi un ressenti que l'on a, mais qui est confus ou qui révèle un deni. Comme dans cet exemple : une nuit, un cauchemar. Mon boss et mon collaborateur sont des vampires. Au lieu de me mordre et d'aspirer mon sang dans le cou, comme on le voit habituellement, ils me mordent dans la cuisse droite. A cette époque, dans mon travail, je vivais une période difficile. Mon boss ne remplissait pas ses fonctions de manager envers mon collaborateur qui passait son temps au travail pour ses activités personnelles. Donc là dans le cauchemar, j'ai symbolisé ceux-ci par des vampires qui pompent le sang (mon énergie !) et surtout dans la cuisse (le flanc). Je mettais en scène ce que mon inconscient faisait ressortir de la situation. Ils sont des "tirs au flanc" ! On peut voir ici que le cauchemar pouvait m'aider à changer ma façon d'agir en refusant de continuer à accepter cette situation très pénible. Ce que j'ai fait !

Il est vrai qu'il est compliqué d'interprêter les rêves ou cauchemars, et encore plus de s'en souvenir. Un bon exercice pour s'en rappeler. Dès que cous vous réveiller après un rêve ou cauchemar, noter le plus rapidement possible sur une feuille ou un cahier tout ce qui vous vient à l'esprit concernant celui-ci. Ensuite essayer de voir si il n'y a pas des indices dans votre vie actuelle pour vous aider à les comprendre.

Un autre exemple : je suis dans un village désertique. Il y a n petit réfrigérateur dehors. Je l'ouvre, et dedans se trouvent des morceaux de squelette d'animaux, ainsi qu'un gros rat mort tout desséché. Ce cauchemar est arrivé à un moment où j'étais en arrêt de travail depuis plus de 20 mois. Ce cauchemar mettait en scène l'état dans lequel j'étais. Sans activités, alors que je suis très active habituellement, je m'ennuyais comme un rat mort ! J'ai donc décidé de m'inscrire à un réseau d'échanges réciproques de savoirs et de rejoindre une association pour la visite des malades, afin d'occuper tout ce temps libre !

Ne voyez plus les cauchemars comme des choses horribles. Servez-vous en pour changer ce qui ne va pas ou ne vous convient pas dans votre vie. Et profitez-en pour vous défouler sur les personnes qui vous veulent du mal, vous énervent, que sais-je encore ! un dernier exemple. Deux nuits de suite, j'ai rêvé que je lapidais ma collègue pour la première nuit et que je l'étouffais pour la deuxième. Je suis malgré tout restée gentille, parce que à chaque fois je l'ai laissé en vie..

Le débat est ouvert. J'attends vos commentaires !

DDD

Voici un nouvel article sur les scandales dans l'agro-alimentaire. Ras le bol d'être utilisés pour augmenter des intérêts économiques au détriment de notre santé le plus souvent, et surtout en se moquant littéralement de nous ! Qu'y a-t-il dans nos assiettes ? Mystère..

Voici ci-dessous des articles et définitions pour toujours se rappeler ce qui nous dirige aujourd'hui. Retrouvez votre bon sens, votre vie la plus naturelle possible, en cuisinant des produits frais, achetés si possible à des petits producteurs. Il vaut mieux manger moins, mais manger mieux !!

Un lobby est un groupe de pression qui tente d'influencer les lois, les réglementations, l'établissement des normes (industrielles par exemple), les décisions..., pour favoriser ses propres intérêts, économiques en général.

L'expression "société de consommation" est utilisée pour désigner une société au sein de laquelle les consommateurs sont incités à consommer des biens et services de manière abondante. Elle est apparue dans les années 1950-60, dans les ouvrages de l'économiste américain John Kenneth Galbraith (1908-2006) pour rendre compte de l'émergence des critiques du mode de vie occidental.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/02/08/une-consommation-reguliere-de-sodas-light-doublerait-le-risque-de-diabete_1829188_3244.html

http://fr.news.yahoo.com/pr%C3%A9c%C3%A9dents-scandales-alimentaires-122400304.html<img src="data:image/jpeg;base64,/9j/4AAQSkZJRgABAQEARQBFAAD

http://player.vimeo.com/video/57126054#at=0

Ca y est enfin vous avez rencontré la perle rare, l'homme de votre vie ! Il est aux petits soins avec vous, il vous couvre de cadeaux, il est charmant (d'ailleurs votre entourage est convaincu par son charisme), vous êtes littéralement sa princesse. C'est magique, le rêve, votre âme soeur vous l'avez enfin rencontrée.

Vous qui ne demandez qu'à aider ou sauver le monde, votre chéri, le pauvre a subi de nombreuses épreuves dans sa vie. Hop vous sautez direct dans la brèche, vous n'allez pas passer à côté d'un tel bonheur.

En fait de sauter, vous vous jetez à corps perdu (à âme aussi !) sans le savoir sous son pouvoir et son emprise. Et il est très fort.

Comment lui résister quand il débarque à votre travail avec une superbe bague, ou qu'il vous a concocté un petit dîner romantique, qu'il ne cesse de clamer qu'il faut d'abord penser et  prendre soin de vous. En général il vous demande en mariage et désire un enfant de vous. Il n'a jamais rencontré une femme telle que vous.

Ha oui ok, il ne travaille pas, le pauvre c'est pas de sa faute, son boss était vraiment une ordure. Et il vous rassure, il ne peut vivre sans travailler et veut assumer son rôle de mec. Il ne sera pas un boulet.

Il est jaloux aussi, mais vous trouvez ça mignon, ça prouve qu'il tient à vous.

Il sera bien pire !

Vous, avec votre envie de l'aider, vous êtes la proie idéale de ce prédateur. Son but ? C'est bien là le souci, c'est qu'en apparence il n'a aucun mobile, si ce n'est de vous faire faire des choses que vous n'auriez probablement pas faites de votre propre gré, pour gratifier son égo.

Ego qu'il cache sous un masque et des façons de procéder bien huilées.

Illusionniste parfait, il est assez difficile de le repérer, il brouille les cartes sans arrêt, même si parfois votre 6ème sens clignote en vous envoyant des signaux d'alerte. Mais son charisme, son côté enfantin et attachant semblent vous anesthésier.

Il vous aime, vous le prouve, pourquoi voudrait-il vous détruire ou vous faire du mal ?

Il créé une confusion permanente chez vous. Il utilise des fausses informations, mélées à un micron de vérité, qui lui confèrent un grand pouvoir de conviction et de persuation.

Son agression est insidieuse car détournée.

De votre côté, vous menez un combat permanent. Vous sentez que celui qui partage votre vie est mythomane, paranoïaque, narcissique, centré sur lui-même, jaloux, manipulateur, qui manque d'empathie, ne supporte pas la moindre frustration. Cette description peu glorieuse ne vous empêche pas de persister dans une voie qui est néfaste pour vous.

Mais peu importe, vous voulez l'aider à prendre conscience de son état, de ses comportements et de ses erreurs. Il vous remercie de tout cela, et semble vouloir changer pour vous, parce qu'il vous aime et ne veut pas vous perdre. Il s'excuse même d'être l'homme qu'il est...

Rebelote, vous retombez dans ses griffes.

Et un jour, arrive un sursaut d'envie de s'extraire de son emprise. Et là vient le choc. Vous réalisez que vous viviez dans le faux, que tout ce que vous pensiez sur votre vie avec cet homme que vous aimiez n'est pas réel (même son amour pour vous était un mirage).

Il se battra bien sûr, il vous harcèlera pour vous récupérer, il se placera en victime. Vous constaterez qu'il aurait pu être acteur ou jouer au théâtre. Il n'hésite pas à se mettre à genoux et à pleurer comme en enfant. Ce qu'il est un peu au fond. Vous êtiez son jouet et il n'en n'avait pas vraiment conscience, sauf à de très rares moments où il n'hésitait pas à s'accuser d'être le mal. Vous pensiez alors qu'il avait un sursaut de conscience, mais non c'était dans le but de mieux vous manipuler.

Le bon côté des choses ? Quand vous aurez affaire à un tel personnage, il y aura très peu de chance que vous retombiez sur le même type de profil, puisque vous aurez dorénavant des antennes, doublées de radars hypers performants pour les fuir.

DDD

Regardez la vidéo et vous aurez un aperçu...

 

Mon 1er est un tyran, mon 2ème un dictateur, mon 3ème un despote, mon tout un adulescent - un adolescent qui se prétend adulte , ou s'octroie et revendique le fait d'être adulte, en se comportant en enfant capricieux.

Dans la société d'aujourd'hui, tout nous pousse à l'impossibilité de porter un jugement sur ses enfants rois. Les médias, les livres, les films font l'apologie de l'égoïsme. Mais pire encore, ce terme pas terrible est remplacé par un autre "socialement correct" l'hédonisme, qui prône la recherche du plaisir et du bien être. Mais à quel prix ? Le problème est bien là ! à n'importe quel prix ! au détriment des autres (c'est qui les autres ? Ha bon il y a des autres ?). Ha si pardon, l'autre, il existe tout compte fait..., mais uniquement en tant qu'objet pour accéder à ses moindres désirs. Ce qui fatalement amène à un manque d'empathie, aucune sensibilité, aucun scrupule.

De cette manière, on fuit tout ce qui gêne ou dérange, on n'accepte aucune contrainte.

Les enfants rois, ces tyrans, exigent, veulent prendre le pouvoir à la maison, sont intolérants à la moindre frustration. Ils développent une attitude de mépris en tentant par exemple de mettre tout  le temps les parents en défaut. Ils se croient seuls au monde, une seule personne a de l'importance  leurs yeux, eux-mêmes.

Si ça ne va pas, ça ne peut être que la faute de l'autre (là encore dans ce cas-là l'autre existe !) Mais l'autre est méchant puisqu'il ne répond pas toujours à ce que l'enfant roi attend de lui.

Ils sont intolérants au principe de la réalité, ne tolèrent pas l'échec. Ils veulent être libres, mais pas autonomes. Ils veulent profiter d'une vie confortable, mais de manière paresseuse.

La faute à qui ? La plupart vous répondront aux parents, en parlant de laxisme éducatif. Ces mêmes parents animés des meilleures intentions qui ont le soucis d'une grande disponibilité et de prévenir et répondre aux moindres désirs de l'enfant ou l'adolescent.

Ils ont une part de responsabilité, c'est indéniable. Mais il ne sont pas les seuls. Que dire de mai 68 et de la célèbre pédopsychiatre Françoise DOLTO ? En effet, celle-ci avait évoqué la célèbre phrase "l'enfant est une personne".

Une personne oui, mais pas un adulte ! Parents reprenez cette place qui est la vôtre !  STOP à l'inversion des rôles, chacun sa place ! Mettez fin à ce diktat. Aidez vos enfants à bien grandir, et n'ayez plus peur d'être rejetés par eux. Le chantage affectif, dehors ! Ne trainez plus ce boulet, ou il vous fera couler. Vous êtes leurs parents, pas leurs esclaves ! Transformez vos enfants rois, ces "imbéciles relationnels" comme le dit Boris CYRULNIK en futurs adultes responsables.

DDD

Les mots sont comme des armes. Ils peuvent blesser aussi profondément qu'une lame de poignard. Les cicatrices qu'ils laissent mettent parfois des années avant de se refermer.

Défendez-vous contre ces paroles gravées dans la roche qui font mal.

Nous avons peut-être chacun à un moment donné de notre vie, subi des paroles dures, blessantes qui nous pourrissent la vie.

Elles peuvent provenir des parents, d’un membre de la famille, d’amis, d’enfants dans la cour de récréation, de collègues, bref elles sont partout, aucun échappatoire, nous sommes cernés (vous avez forcément entendu des « bouboule », «tu n’as pas un peu grossi ? », « poil de carotte », « mais pourquoi tu ne réussis jamais ? », « avec ton père on ne t’a pas désiré », (tu n’es vraiment qu’un bon à rien »…) 

Alors le mieux, c’est de savoir la reconnaître, la fuir, la rejeter, la renvoyer, ou d’en guérir.

Proférer une parole blessante prends à peine une seconde, mais en guérir la blessure demande beaucoup de temps.

Stratégies à mettre en place :

REPERAGE

Difficile quand on est un jeune enfant, et pourtant.. À force de l’entendre, elle s’ancre. Parfois elle est directe, sans détours, pour faire du mal, donc là forcément difficile de la rater. Il y a le panneau TOXIQUE qui clignote dans tous les sens ! Mais, elle peut aussi être bien plus dangereuse et sournoise - celle qui n'en n’a pas l'air  mais qui en est une ! Et enfin, et pas la moindre, la violence qui commence où la parole s’arrête.

DEFENSES

Je mets un « S » volontairement, parce qu’il faut plusieurs défenses, c’est plus sûr !

Les boucliers intérieurs. Ils servent à se protéger, à devenir imperméable, ils sont des pares-méchantes paroles. Voici donc en détail l’uniforme dans lequel vous devez investir pour vous prémunir des méchants

• Un masque
  
• Un bouclier
  
• Un boomerang (pour le retour à l’envoyeur)
• Tee-shirt personnalisé
  

Avoir dans son groupe d’ami, un dur de dur, un vrai guerrier pour vous défendre. S’entraîner à une posture zen pour désarçonner l’ennemi, dire STOP, toujours avoir un miroir à portée de main (pour montrer à la vilaine personne comment elle est moche en disant tout cela), se vacciner. 

La publicité ! On ne peut pas y échapper... Elle est partout !  Dans les magazines (comptez par curiosité le nombre de pages de publicité, vous serez impressionnés !), à la télévision, au cinéma, à la radio. Elle envahit votre quotidien.

Petite analyse rapide de ce mot justement.  Nous pouvons extraire les mots cible , public, licite et l'apocope* PUB. Celle-ci est employée sciemment pour brouiller le message, soi-disant dans un but esthétique !! Ben voyons ! Nous ne sommes pas dupes.

Coup De Gueule (CDG) en particulier ici, sur les publicités dans lesquelles sont présents enfants ou adolescents. Loin de véhiculer ou représenter une image idyllique de la famille, celles-ci mettent l'accent sur les comportements de ces enfants capricieux, colériques, ces nouveaux tyrans, pervers même ! 

Quelles sont les cibles ? Les parents qui culpabilisent et qui veulent "toujours être IN et non OUT". Les enfants ou adolescents, qui jubilent de prendre le dessus sur les parents, les dirigent, les maltraitent. Ces enfants rois qui renversent même parfois les rôles et se sentent légitimés.

Réveillez-vous ! Reprenez cette place qui est la vôtre, celle de parents responsables qui devraient se rappeler qu'ils sont là pour permettre à leur progéniture de devenir des futurs adultes responsables, bien dans leur tête et dans leur coprs. Non pas une espèce en voie d'augmentation, des méchants Tanguy !

DDD